Y’a que c’est vendrediiiiiiiiiiiii.
Et je danse dans ma tête comme une demeurée rien que de me dire que demain je peux dormir.
Oui, je crois que j’ai atteint une certaine phase de fatigue,
un état secondaire irréversible.
Situé à la croisée du pétage de plomb, du râlement intense, de la sensibilité exacerbée et de la joie démesurée.
Entre chaque état, mon coeur vacille.
Entre mes deux oreillers, c’est pareil.
Pas de jaloux, je dormirai sur les 2.
Et en passant : joyeux premier février !